Ouvrages de Denis Clabaine

« Un signe grandiose apparut au ciel : une Femme !Le soleil l’enveloppe, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête…
« Puis un second signe apparut au ciel : un énorme Dragon rouge-feu, à sept têtes et dix cornes…
« Alors il y eut une bataille dans le ciel : Michel et ses Anges combattirent le Dragon. Et le Dragon riposta, avec ses anges, mais ils eurent le dessous et furent chassés du ciel… » (Apocalypse, chapitre12)
Ce chapitre de l’Apocalypse nous donne l’éclairage essentiel pour comprendre « le Combat Exorciste de l’Eglise ». Combat très connu et très méconnu en même temps, comme nous le montre Denis CLABAINE dans cette étude qui s’appuie sur la Sainte Ecriture et sur la Tradition, sur les Pères de l’Église et les textes du Rituel Romain. Plus particulièrement, c’est une analyse inédite et serrée du texte original de l’exorcisme de Léon XIII qui constitue en quelque sorte la colonne vertébrale de cet ouvrage, dont la vision globale est cependant beaucoup plus large, partant des profondeurs de l’Ancien Testament pour s’envoler jusque dans les hauteurs de l’Apocalypse, sur « les deux ailes du Grand Aigle ».
Ces pages rendent à Léon XIII son vrai visage, digne du Saint Pie V de la victoire de Lépante, et elles font resplendir l’épée de Saint Michel Archange dans ses éclats victorieux et eschatologiques :
« En ce temps-là se lèvera Michel, le Grand Prince… » (Daniel 12,1)

Disponible auprès de : T.R.C.
Participation aux frais : 20 € franco de port

Préface de l'abbé Jean-Emmanuel des Graviers

Après « Le Combat Exorciste de l’Église », Denis Clabaine a conclu à la nécessité de reprendre la plume pour répondre à une demande de plus en plus pressante et générale, et dont l’expression fondamentale se résume en cette grande question : au fond, qu’est-ce que l’exorcisme ?
Il fallait retourner aux vérités les plus fondamentales de la religion, et aux sources les plus sacrées du christianisme.
Certes, le premier ouvrage s’y est employé déjà substantiellement, et avec des perspectives très vastes en même temps.
Mais on souhaitait une étude plus systématique et facile à consulter, une sorte de guide catachétique pour un domaine bien mal connu quoique omniprésent : son actualité se fait chaque jour plus incontournable…
Voici donc des « morceaux entiers de catéchisme pour adultes », comme dit l’abbé des Graviers dans sa préface. Avec Index et table détaillée. L'exorcisme en sort « exorcisé » lui aussi, à sa manière : sa désoccultation et son désenclavement font sauter un lourd carcan réducteur, plus ou moins conscient et avoué, que nos temps de crise ont infligé subrepticement mais tyranniquement au message plénier de l’Évangile.
Le premier livre était centré sur l’exorcisme de Léon XIII. Celui-ci sur l’exorcisme tout court. autant dire que les deux forment un tout.

Disponible auprès de : T.R.C.
Participation aux frais : 23 € franco de port

Pendant plus de mille ans, la médecine fut assurée par l’Église, et plus particulièrement par les clercs. A l’origine de cela, il y avait deux dynamismes : 
D’une part celui de la charité générale, par laquelle l’Église se penche sur les plus pauvres, les malades, les malheureux, tous ceux qui souffrent, selon le principe déjà vivant dans l’Ancien Testament de la charité « envers la veuve et l’orphelin », principe mis en œuvre de façon individuelle mais aussi sociale dans la mesure même où l’Église régissait la société (d’où les « hôtels-Dieu » et autres œuvres hospitalières et caritatives).
L’autre source de cette attitude est l’Évangile lui-même dans ce qu’il a de plus spécifique, à savoir la mission que le Christa a donné à ses apôtres et à leurs successeurs de « chasser les démons et guérir les malades », les deux aspects d’un même pouvoir accompagnant et crédibilisant en même temps l’annonce du Royaume de Dieu.
Au Moyen-Age, l’Église a passé peu à peu la main aux compétences profanes pour tout ce qui était plus naturel et technique sur le plan médical, en attendant que l’Etat se constitue le gérant plus ou moins universel des œuvres sociales.
Bien sûr, l’Eglise n’a jamais renoncé à son apanage évangélique que constituait son rôle exorciste et en même temps la dimension divine de la guérison qui s’y rattache. Mais ce rôle a été toujours plus réduit et confiné.
Or, la médecine moderne sent d’une part ses limites, d’autre part la nécessité d’aborder l’homme dans une dimension beaucoup plus globale, et donc aussi spirituelle. Et parallèlement l’exorcisme est l’objet d’une nouvelle sollicitation au sein de l’Église, où il a été, notamment depuis ces trois derniers siècles, trop restreint, voire ignoré. La nécessité de traduire de façon renouvelée l’écoute de la souffrance, et l’ajustement à la démarche médicale et humaine modernes, ont conduit Denis Clabaine à proposer des réflexions conduites par la confrontation entre le trésor traditionnel de l’Église avec les données actuelles de la médecine, en vue de susciter des réponses adéquates à la situation actuelle, en sorte que l’Église exerce ou retrouve le rôle qui est le sien, et qui ne peut que rappeler les richesses spirituelles de la première chrétienté.

Pour obtenir cet ouvrage, nous consulter : saintmichelarchange@free.fr

Mircea Eliade a mis en évidence la nature primitivement et foncièrement "magique et athée" du Yoga, ainsi que sa structure "initiatique".
Denis Clabaine en apporte la démonstration interne, par une analyse aussi serrée que panoramique. Il "décortique" le Yoga sous tous ses aspects : physiques, psychiques, spirituels, métaphysiques, initiatiques, eschatologiques, scientifiques et religieux. Ce qui lui fait passer en revue non seulement l'Hindouisme, mais aussi les "états seconds", les phénomènes "Psi" ou "paranormaux", les réalités mystiques et médiumniques, etc.…
Il concentre particulièrement son analyse sur un cas-type : la "Médiation Transcendentale", variété de Yoga appelée par son fondateur, le yogi Maharishi Mahesh, la "voie mécanique" de la "God-Realization" ou "Réalisation Divine" de l'homme.
Et il discute aussi, patiemment et minutieusement, la question si vitale de la "Réincarnation".
Ce livre, demandé à l'auteur de divers côtés, mais particulièrement par ceux qu'il a personnellement aidés dans leur cheminement, est en fait une réponse à mille questions que tout le monde se pose. Réponse qui intéressera tous ceux qui cherchent la vérité, et qui sera particulièrement utile aux professeurs, étudiants, et chercheurs en philosophie, psychologie, sciences humaines, théologie, mystique, etc.
L'auteur apporte en tous ces domaines des vues neuves, dont l'originalité réside, entre autres, dans la synthèse entre les multiples éclairages d'un large éventail de données, rarement réunies, et provenant aussi bien des leçons directes de l'expérience que de l'étude pluridisciplinaire et de la réflexion personnelle. Evitant, en même temps, l'écueil de la dispersion inhérent à ce genre d'entreprise, il va toujours à l'essentiel, dans un langage accessible et un grand souci de logique, de clarté, et de vérité. Vérité des faits, devant lesquels il s'incline systématiquement d'où qu'ils viennent. Vérité de leur interprétation, dans laquelle la foi la pus chrétienne et la logique la plus naturelle rivalisent d'exigence. Et ne peuvent laisser personne indifférent.

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Avant-propos du pasteur Maurice Rey

Les techniques du yoga peuvent s’apparenter à la prière qu’elles tendent à remplacer, dès le niveau même du corps, engrené dans un véritable rituel. Car la séance de yoga est plus qu’une gymnastique : c’est un véritable rituel, et plus efficace qu’on ne  croit. C’est la liturgie du corps dans le temple du cosmos.
Le chrétien adore Dieu en esprit et en vérité. Le yogi veut utiliser le corps, comme un moyen qui, par lui-même, serait spiritualisant. C’est en quoi il est magique et idolâtrique. Car il vise sa propre « divination ». S’appuyant pour cela sur les ressources du corps, il n’obtient évidemment pas d’effets intrinsèquement « spirituels» mais « subtils » : cette fausse monnaie « matérielle » de l’esprit. Ces effets « subtils » sont en effet d’essence corporelle, états et sensations ordinaires du système nerveux. Avec phénomènes « paranormaux » en cortège. Le plan spirituel est bien atteint par contre-coup, puisque l’âme qui anime ce corps est spirituelle. Mais «on récolte ce qu’on a semé» : du corporel. ressentir des « états seconds » est donc le grand piège : on prend pour pure spiritualité ce qui n’est que l’enivrement des zone «inférieures» de l’âme, zones liées à la matière. Malheureusement cet enivrement produit les effets qui lui sont propres : altération de la conscience des zones supérieures. Ici, ce n’est pas l’ivresse physique des ivrognes, altérant le pôle psychique ordinaire. C’est l’ivresse «psychique», altérant le pôle «spirituel» de l’âme.

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